Pourquoi faire un test de Q.I. ?

 

Contrairement aux idées reçues ou aux effets de mode … posséder une intelligence supérieure ou exceptionnelle, n’est pas une garantie de bonheur ou de réussite scolaire ou professionnelle.

 

Au-delà des résultats chiffrés, apprendre à mieux se connaître qualitativement, notamment sur le plan cognitif, permet surtout de mieux appréhender sa différence par rapport aux sujets de sa même tranche d’âge.

On y découvre également ses ressources particulières, ce qui est + ou - comme la plupart de ses pairs et aussi ses faiblesses.

 

Ce bilan est parfois l’objet de surprises ou de doutes !

Il invite toujours à la réflexion sur soi, à son histoire familiale, scolaire, professionnelle, affective, sociale. Il s’en dégage souvent un sentiment de soulagement, de reconnaissance, de reprise de confiance en soi et de l’estime de soi.

 

Le plupart des sujets H.P. se sentent en permanence en décalage par rapport aux autres. Certains sont jugés trop lents, d’autres trop conformistes ou inintéressants ou compliqués ou instables …

 

Il leur arrive souvent de devoir supporter rejet, sarcasme, incompréhension.

Comment assouvir sa curiosité boulimique, vivre avec une pensée riche mais envahissante, une hyperactivité mentale, une hypersensibilité émotionnelle, une dispersion chronique, la complexité de la vie sociale et/ou affective ?  Comment parfois comprendre sa dépression, son épuisement, son burn-out ?

Même si certain(e)s vivent assez bien leurs aptitudes et différences, d’autres sont en grande souffrance, se sentent isolés, incompris, marginalisés !

 

Il est aussi bien exact qu’un test de Q.I. génère souvent du stress (bien normal !) avant de se décider. Notre longue pratique en ce domaine nous permet ainsi de dire qu’un tel bilan cognitif permet avant tout de redonner du sens à sa différence (on n’est pas seul dans le cas !).

C’est aussi et surtout une grande source de richesse et PAS du tout une pathologie psychiatrique.

 

La personne peut amorcer un virage capital dans sa vie, retrouver un sentiment d’appartenance, faire la paix avec sa différence, reprendre confiance en soi, trouver des pistes simples et concrètes pour améliorer son quotidien. Elle peut également mieux s’accepter et comprendre les autres dans leurs propres différences.

 

Pour certaines personnes, c’est un véritable travail psychothérapeutique qui s’initie.

Pour d’autres, cela leur permettra de :

 

- Renouer du lien social via des groupes d’appartenance (ex: EHP Belgique, MENSA, Ateliers HP … )

- Faire un changement, un virage dans leur carrière,

- Reprendre des études, des formations ..

 

ET... s’occuper enfin de SOI :

via le Sport, la Culture, la Musique, sa Famille, Cuisiner, la Lecture, Méditer ...

s’autoriser enfin à  " NE RIEN FAIRE " et  ... lâcher prise !